attention en ville une constellation de grains à odeurs assez
particulière monstre lâché foule la ville de son ventre torse gris la
fronde de son ventre la venue de sa croupe au monstre attention le
monstre nous largue il accouche plouc plouc de deux attention de un
rat-cheval et de une rat-cheval qui cavalent là au gris nous entre les
grains les parcelles là des merdes de chiens des caniches hameçons pour
les semelles de la fille-poète d'entre nous à six chats en laisse
rat-chevaux aux bas ventres courbés vers les pierres les dallages gris
de la ville en direction de chapelle avec les six chats tenus clac en
laisse parmi les constellations de dangers comme les grains de beauté
sur une peau pâle ou grise tendue sur la ville en tension sur l'eau à
nuance clac salée de la ville et des rues à ouvertures grasses allongées
pour le monstre en drague de rat-chevaux ventre à terre et torse aplati
aux façades attention les rues sont draguées par nous les propices aux
constellations de dangers et pour nous les quatre pattes à tomber
recavaler avec semelles et six chats oui six chats en laisse vraiment
nous vaquons clac pieds au pavé et torse ample rues là outres à nuit et
ouvertures grasses les bruits lents des moteurs nous coule aux cheveux
regards cruches à eaux grises à eaux tièdes plissées grises et à l'air
nuitée double d'une torsion algue le long de tous grains oui de beauté
et de hameçon pour la drague pour la drague à dos de rat-cheval la
drague de la ville la drague à souffle de monstre ou de rat-cheval
blessé à son flanc notre corps est épais brute et il râle ventre au pavé
notre corps est monceau de sel et eaux tièdes oui plissées grises il
tient en laisse un essaim de six chats oui de six chats qui entraînent
ce qui est fille-poète parmi nous entre les croûtes d'excréments les
grains des caniches stupides de la ville notre monstre nous sécrète mais
notre monstre est plus stupide plus fumigène géant que toute l'armée
coyote de tous les caniches stupides de la ville il est gris argenté
bleu tiède pâle nuit des pavés plantés à la place de ses yeux il est si
large qu'il plouc plouc pète la ville il courbe la ville sous l'élan de
son flanc de sa peau garce fluide hop il grogne la bouche coulée en
chapelle qui est le clou même de son territoire à dormir à creuser
baigner aux grandes outres eaux des eaux de nos bouches des foules
courbes de nos sels vraiment grains hop six chats là entre nous
entraînent et nous nous entraidons à baigner tièdes joues aux ouvertures
des bouches rues avec leurs bruits de moteurs et odeurs des caniches et
odeurs de petites tiédeurs plissées grises là entre nos bouches nous
sommes ce qui drague en ville claquons chiffre clac des conflits au sein
de la constellation de nos chats qui nous mène en laisse tire notre
barque brûlante grise presque pâle à fond pourpre le long tout le long
du territoire à rues outres à façades en peau de bête raclée beige la
nuit nous dormons trombone de notre eau et notre monstre nous rit il
nous rit ce qui nous fait nous embarquer gris aux outres pleines de nos
rues jusqu'où dévaler en chapelle poussée courbe là en contrebas où
confluent touchent nos fleuves et marées en chapelle là de pierres
agacées agencées en corridor souple suie nous sommes la suie de nos
souffles hop à l'air mi-libre hop une chapelle au confluant est une
chapelle agréable à gérer selon les montées des eaux des égouts propres
agréables de ce qui est ville pour notre monstre corps pour oui pour
notre drap corps notre outre corps gris piaillant allégé lorsqu'il plume
bouche ses plumes averti par ses chats lorsqu'il parade torse à draguer
lorsqu'il drague content lorsqu'il musique l'accouchement plouc plouc
de son monstre nous sommes des clac cadavres qui rient oui en tombe nous
rions car monstre est ce qui nous sécrète ce qui est plus stupide plus
stupide coyote que toute la rat-cheval meute de tous les caniches
stupides invisibles qui plouc plouc grisent notre ville de leurs crottes
+ ici
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire