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? NE
pas
co s
dIrE t logI
a lIbErt
? La par
olE E
so rE, ac
n' q
l éE
E Enu
E vI Ib
. otre Idéal
donc pour tout
la l nE Et abs l
l bErté
Ex sa
pEn E En , sc nc , p
lIt q , or lE,
ns autre qu
dE s n rE
ct p utr
; Il égalE
It d'agIr à son gré,
dE «
» t
t n ss nt
n
tu ent sa
ontà cElle dEs autrEs hommes
d :
e tr
vE p Nt lImItéE par cEttE unIon, maIs
EllE grandIt au con IrE, grâcE à
la f cE dE
la volonté communE
.
Il
va a
dIrE qu cEttE lIbErté
E Et d'act
on st
ncompat blE avEc
lE maIntIEn ns quI
mE Ent un
me v u fInI ,
voca lE, E tEndEnt
mêmE f cEr lE travaIllEur à sE cr
r ,
rIr d'I
ItIon dEv
la c
sIgnE d
n propr
ta
rE. LEs s
nE '
sont poInt t
pés quan
Ils on donné
aux évolutIonnaIrEs
lE n om g
«
d'EnnEmIs
dE la rElIgIon, dE la fam
E Et dE l pr prIété »
uI, lEs anar s
rE sEnt l'
rIté dogmE
Et l'interve on du
surnaturEl dans notrE vIE, Et,
En cE
s, qu uE
rvEur Ils
app En
dans l uttE p
r lEur Idéal
dE fra rnI
lidarité,
EnnEmIs rElIgIon.
EntlasupprEs
sIondu trafIc matr
ImonIal,
I
EulEntlEs unIons lIbrEs, nE
rEp sant
quE sur l'aff Ion mutuEllE, lE rEspEct
dE soI
Et dE la dIgnIté d'autruI,
Et En cE sEns, sI aImants Et
sI dév
és qu'Ils soIE Eux dont la vIE Est a
ocIéE à la
lEur, Ils sont b
n . OuI, i
vEulEn su
prImEr l'a aparEmEnt
dE la t rrE Et dE sEs pr s pour lEs
ndr à tous,
Et, En cE sEns, lE b Eur qu'I auraIEnt dE garantI la jouI ancE
dEs fr Its l, En faIt dEs En mI la p pr E tEs, us a on la paIx nous avons
po
vIt a ur dE no s ;
au loIn evant nous, E
E n pa ncorE En unE d
l rEusE pEr Ec IvE
car dans l'ImmEnsE Ité dEs chosEs humaInEs la
marchE
vE l paI
êmE
dE l s.
Elisée
Reclus - l’évolution, la révolution et l’idéal
anarchique - 1902
23ème
jour du Calendrier ArméeNoire
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