Pour son argent - James Joyce





Et ce qu'on a vu en dernier c'est le sacré cab qui tournait le coin et la vieille tête de bouc en chaleur qui se gesticulait comme un perdu et le sacré enfant de garce de clebs par derrière avec ses esgourdes raplaties qui en mettait tant qu'il pouvait le bougre pour le déboyauter et de détripailler. Cent pour cinq ! Crédié, je vous fous mon billet qu'on lui en a donné pour son argent.


James Joyce – Ulysse
Traduction Auguste Morel, Valéry Larbaud,
Stuart Gilbert, James Joyce
Gallimard – 1957

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