... et les vents portent aux sables des
déserts et les déserts brûlent de Dieu, bleus !
et dedans les vents tournent les bêtes montées et de la
geste rougeoient les armes...
...et il y a cet amer des roches qui ruisselle longtemps au pas qui défait les paroles en onomatopées et parfois le regard se tend et le Nom vient aux lèvres... le Nom, bleu ! ...et alors les blondeurs des sables culminent au levant...
...et il y a les nuits et silence et froid...et les hommes sont à l'aise dans le noir luisant...et la nuit est bonne aux bêtes...et tous prient dedans...et le buisson... rare !
...Est la nuit. Et ce qui est rare est nu...et les hommes font feux. Et arrivent les images des toiles là au fond du cœur avec les femmes les enfants les vieillards...et les bêtes sont forcées de presser le pas...et les hommes s'entêtent des odeurs des menthes...et
les vents poussent dans leurs sens...
...et reviennent aussi les paroles anciennes aux secrets des flammes quand l’œil du frère verse au puits les contours des vides...et les bêtes frissonnent dans les calculs épuisés...
...et les hommes tanguent sur parallèles entre désir et passé et ivres des franchissements ils opposent les songes aux mouvances noires et leurs pas écrivent des sources de sels...et les bêtes prient.
...et il y a cet amer des roches qui ruisselle longtemps au pas qui défait les paroles en onomatopées et parfois le regard se tend et le Nom vient aux lèvres... le Nom, bleu ! ...et alors les blondeurs des sables culminent au levant...
...et il y a les nuits et silence et froid...et les hommes sont à l'aise dans le noir luisant...et la nuit est bonne aux bêtes...et tous prient dedans...et le buisson... rare !
...Est la nuit. Et ce qui est rare est nu...et les hommes font feux. Et arrivent les images des toiles là au fond du cœur avec les femmes les enfants les vieillards...et les bêtes sont forcées de presser le pas...et les hommes s'entêtent des odeurs des menthes...et
les vents poussent dans leurs sens...
...et reviennent aussi les paroles anciennes aux secrets des flammes quand l’œil du frère verse au puits les contours des vides...et les bêtes frissonnent dans les calculs épuisés...
...et les hommes tanguent sur parallèles entre désir et passé et ivres des franchissements ils opposent les songes aux mouvances noires et leurs pas écrivent des sources de sels...et les bêtes prient.
magnifique et saisissant!
RépondreSupprimerC'est cela, les textes de Catherine Ferrière Marzio sont magnifiques, saisissants...
RépondreSupprimer