Faisant
tourner le gramophone :
(« Une ronde sonnante et chantante de mélodies »
qu'ils auraient dit sans hésiter au Südwestfunk) et j'eus
une frayeur mortelle : Duke Ellington, son visage!! (Il n'y peut rien
sans doute; mais quand on produit des déchets acoustiques de
cet acabit : ça devient une tare).
Arno
Schmidt – miroirs noirs
Traduction
Claude Riehl
Christian
Bourgois éditeur - 1994
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