le bordel de la poésie débarque en france
Voyez comme vos macs nous cernent.
Voyez comme ils tentent de nous baiser, de lécher nos mains.
Voyez ces frusques fadasses ; voyez ces alcôves insipides.
Voyez comme la poésie ne baise plus ; voyez comme elle rampe.
Votre paternalisme nous condamne à la clandestinité.
Nous voulons tous les carcans ; ceux de l'interdiction, ceux de la prohibition, ceux de l'abolition, ceux des pissotières, ceux des friches industrielles, ceux des aires d'autoroutes, ceux de la criminalisation...
Voyez comme ils tentent de nous baiser, de lécher nos mains.
Voyez ces frusques fadasses ; voyez ces alcôves insipides.
Voyez comme la poésie ne baise plus ; voyez comme elle rampe.
Votre paternalisme nous condamne à la clandestinité.
Nous voulons tous les carcans ; ceux de l'interdiction, ceux de la prohibition, ceux de l'abolition, ceux des pissotières, ceux des friches industrielles, ceux des aires d'autoroutes, ceux de la criminalisation...
Nous vous haïssons ; vous et vos flics.
Vous défendez votre liberté à nous baiser.
Nous défendons notre droit à ne pas crever.
Nous exigeons la strape.
Nous exigeons le cuir.
Nous exigeons de vous punir.
POÈTE N'APPARTIENT À PERSONNE !
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