tof-tof-tof//
la tonnelle
réussit
pour la troisième
fois
l'abordage / l'après
midi,
à 3 heures, il fait
froid.
je ne me laisserai
pas
distraire. au nord on
l'annonce
il va pleuvoir.
dans
l'heure les lévriers
croisent
le fer : à peine
quelques
clapotis sur les
terres
cuites. oublier la
vague
de graffitis jaunes
surtout !
le moulin, avec
briques
& acier, piaille.
une
aile manque. l'arc se
brise.
je me rameute ! le
charbon
c¹⁴ (poussières),
comme
le manganèse, comme
les
ocres qui s'envolent.
la
réputation du granite.
m'en
souvenir ! sur notre
droite,
un chien hilare !
il
s'enroule dans du film
alimentaire.
il se glisse
sous
un casque. ma pensée
est
affûtée. la pointe se
dissout.
l'étron, la dent
plaquée
or & la mousse de
polyuréthane
(surprenant)
sont
bien abrités dans le
tunnel
aérien. mon repère
sur
la carte rosée : sous
le
papier collant, en bas
à
droite, les deux tâches
bleues.
je suis condensé.
rien
ne peut dissuader la
première
goutte. le train
retarde.
ne pas renoncer.
devant
le lac aux canards
je
m'acquitte. l'offrande
pour
chaque dénivellation
est
une statuette-insecte
en
mie de pain. tout près
le
sequoia se repose. là,
j'enjambe
le bosquet. Les
nuages
(fssh) se penchent
sur
Patismit. le samovar,
noir
& gris, m'accompagne
dans
la forêt : holy holy...
hein!spirée la visite, sans compter les liens
RépondreSupprimerquant au tunnel post-moderne, il est légèrement bunker
RépondreSupprimerle hic, voilà !
RépondreSupprimerje passe devant des trucs, je vois machin-chose.
j'écoute Louis, j'entends Pierre...