il a le corps
de saison
un crâne chargé
comme le ciel
il perd des glaviots
comme des feuilles
jaunes et rousses
la terre de la langue
qui colle aux semelles
des mots
une humeur de bogue
à ne pas toucher
les poings prêts
aux marrons
il a le corps accordé
à la petite mort
d'automne
de saison
un crâne chargé
comme le ciel
il perd des glaviots
comme des feuilles
jaunes et rousses
la terre de la langue
qui colle aux semelles
des mots
une humeur de bogue
à ne pas toucher
les poings prêts
aux marrons
il a le corps accordé
à la petite mort
d'automne
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